lundi 30 novembre 2020
La République Dominicaine s’active à relancer ses activités touristiques.- #LeReCit
mercredi 25 novembre 2020
Scandale sexuel -- Dadou Jean-Bart : Le #BINUH tente, sans succès, de prendre ses distances avec la justice pourrie d’Haïti.- #LeReCit
En effet dans ledit Communiqué nous lisons :
“le Bureau Intégré des Nations Unies en Haïti (BINUH) souhaite faire part de sa préoccupation quant au non-lieu rendu par les autorités judiciaires haïtiennes dans le dossier d’abus de pouvoir et d’agression sexuelle qu’aurait perpétré l’ancien Président de la Fédération Haïtienne de Football, Yves Jean-Bart, sur des jeunes joueuses de football – dont des mineures.”
De plus, “Le BINUH considère que les éléments de ce dossier sont très inquiétants et demande qu’un processus judiciaire indépendant et complet soit mené afin que les victimes présumées obtiennent justice. Eu égard à l’importance de mettre frein à l’impunité en matière d’abus sexuels, le BINUH salue les sanctions adoptées par le comité d’éthique de la FIFA dans ce dossier et appelle les autorités haïtiennes à garantir la sécurité des présumées victimes, ainsi que leur droit à obtenir réparation.”
Et en conclusion, la Mission des Nations Unies chargée de renforcer la justice nous dit : “Il est également important que soient mis en place des mécanismes pour assurer que les victimes d’abus sexuels et de toutes autres violences, ainsi que leurs défenseur-e-s, ne fassent pas l’objet de menaces et d’intimidations, et puissent dénoncer ces abus en toute sécurité.”
D’abord, c’était révoltant de lire la réaction de la justice à ce sujet : « C’est un juge intéressé, des sanctions seront appliquées et le dossier réévalué. » L’élément de langage habituellement utilisé pour faire croire qu’il s’agit d’un cas isolé. Alors que le problème est systémique.
En Avril 2015, des plaignants se disant victimes d’abus sexuels lorsqu’ils étaient à l’orphelinat Saint-Joseph de Delmas 91, ont eu droit à cette même déclaration du Ministre suite à la libération de l’accusé Michael Geilenfeld lors d’un jugement organisé à leur insu.
En réalité, la justice haïtienne libère de façon systématique les accusés d’abus sexuels. Les quelques condamnations sont insignifiantes et pire encore, les violeurs sont emprisonnés pour un temps extrêmement banal. En général, devant un Tribunal haïtien, un voleur de banane obtient une peine plus sévère qu’un violeur de femme ou d’enfant.
Les juges, les huissiers, les greffiers, les commissaires du gouvernement, tous, à 95% (pourcentage utilisé pour illustrer la réalité), ils sont contre les victimes et se placent toujours du côté des violeurs. La justice haïtienne est protectrice des prédateurs sexuels. C’est connu!
Le travail du BINUH devrait contribuer à mettre la pression sur le système, à protéger les victimes et à exiger des sanctions contre les fonctionnaires corrompus, et des réformes au sein du système.
Où sont les données sur les cas d’abus, les jugements et les condamnations? Ces données devraient-être disponibles pour analyse, visualisation et vulgarisation.
Le @BINUH_UN le savait et le sait encore. Et, sa mission consiste à renforcer la justice haïtienne. Alors, si rien n’a changé, si la situation a empiré, il est aussi fautif que la justice haïtienne. Il a échoué!
Au Cap-Haitien, les cas de viols et surtout d’inceste augmentent de façon spectaculaire. Cela est dû au copinage entre les fonctionnaires de la justice et pères-violeurs qui sont souvent des personnalités connues de la classe moyenne. Le système ne protège pas les enfants, la situation tant à se généraliser.
C’est trop facile de toujours se démarquer de ses responsabilités. Et sur ce point, vu que des casques bleus ont violé femmes et enfants en #Haïti, on risque de se demander s’il n’y a pas conflit d’intérêts. Si l’@ONU a intérêt à ce que la justice soit renforcée à ce niveau.
Il est temps de voir les choses en face et avec honnêteté, évaluer, corriger pour une meilleure contribution réelle au changement.
mardi 24 novembre 2020
Pap janm gen sekirite an Haiti ak vye apwoch #socialopopuliste nan tèt Leta, nan misyon ONU ak dwa moun politize ki anpeche #PNH itilize lafòs.- #LeReCit
vendredi 20 novembre 2020
Coup dur pour l’image de la justice haïtienne, décriée au niveau mondial comme « protectrice des prédateurs sexuels et des violeurs d’enfants ».- #LeReCit
La décision de la FIFA contre Dadou Jean Bart, le condamnant à vie de toute activité footballistique, malgré l’acte de la ”Justice ” haïtienne l’innocentant la veille, est une humiliation pour notre pays.
Nos magistrats doivent comprendre que personne ne les prend au sérieux dans le monde en matière de protection des enfants, des jeunes et des victimes d’abus sexuels. Car, dans presque tous les cas, la “justice" haïtienne blanchit l’accusé, fait traîner l’affaire en vue de lui permettre de détruire les preuves et/ou d’intimider la victime, sa proie. De plus, l’État haïtien ne joue pas son rôle d’assistance et de prise en charge globale prévu par la loi contre le trafic humain. Telle est la réalité ! Martin Luther King disait : « La courbe de l’histoire est longue, mais elle tend vers la justice. » Ce genre d’humiliation infligée à la “justice” haïtienne réjouit toutes ces victimes maltraitées par des Commissaires, des juges, des greffiers et des avocats haïtiens. Leurs comportements injustes à l’endroit de pauvres victimes sans défense ne fait que jeter de la honte et discréditer leur profession. Ce constat sera de plus en plus répandu à travers la planète devenue un village au 21e siècle. « Haiti a une “justice” complice des prédateurs sexuels. C’est le pays idéal pour abuser des enfants » , telle est la conclusion des observateurs. On devrait avoir honte de se présenter comme un Magistrat ou un fonctionnaire de la justice haïtienne. Cela me fait de la peine pour la minorité de professionnels du droit, ces quelques juges qui essayent encore de rester dignes et honnêtes. Mais, les corrompus ayant occupé le devant de la scène, les exceptions ne font que confirmer la règle. Ils sont tellement à l’aise dans leur bêtise qu’ils n’arrivent même pas à comprendre que le fait de sortir une décision “expresse” la veille de la réunion de la FIFA prouve que cette “justice” agit en fonction des besoins de l’accusé Dadou Jean Bart; elle est compromise donc indigne de respect. Vraiment, cette Justice haïtienne est embarrassante pour le prestige, l’image et le fonctionnement même du pays. On finira, un jour, par la démobiliser en vue de faire place à une vraie justice avec de vrais professionnels. Cyrus Sibert, #LeReCit @reseaucitadelle reseaucitadelle@yahoo.fr WhatsApp : +509 3686 9669mercredi 18 novembre 2020
La démocratie haïtienne meurt par manque de décrets et de référendums! #LeReCit
lundi 9 novembre 2020
La Cour des Comptes de France fait aussi un travail de contrôle à POSTERIOI. Jovenel n'a fait que corriger une anomalie —
#LeReCit -- Certains medias étrangers prennent les haïtiens pour des cons. Dans un article paru sur Radio France Internationale @RFI, on qualifie le dernier décret du Conseil des Ministres haitien rectifiant les limites de l’action de la Cour des Comptes d'Haiti à un travail à POSTERIORI de MUSELAGE. On nous dit que le Président Jovenel Moise “musèle” la Cour des Comptes. Alors, je vous invite à lire ce texte obtenu sur un site français sur le fonctionnement de la Cour des comptes en France, et vous verrez que cette institution fait uniquement un contrôle à POSTERIORI, et que la situation de la Cour des comptes en Haiti était une anomalie qu’il fallait corriger.
De plus, comme le professeur Monferrier Dorval l’avait répété, la lutte contre la corruption passe par des audits rapides, pour detecter les fraudes éventuelles sans perdre de temps, avant que les dilapidateurs ne déplacent les fonds détournés et/ou n’effacent les preuves ou les traces des transactions frauduleuses. C’est la raison pour laquelle la Constitution haïtienne stipule : “la décharge est annuelle”. Alors, pourquoi cet acharnement contre les dirigeants haïtiens quand ils veulent gouverner leur pays? Comment le fonctionnement à POSTERIORI d'une Cour des Comptes peut-il être normal en #France, mais anormal en #Haiti? La presse doit porter des critiques fondées sur le bon sens et la vérité. Cyrus Sibert, #LeReCit @reseacitadelle reseaucitadelle@yahoo.fr WhatsApp: +509 3686 9669 Nous vous invitons à lire : Quel est le rôle de la Cour des comptes (en France)? https://www.vie-publique.fr/fiches/20294-le-role-de-la-cour-des-comptes-dans-le-controle-de-ladministration?